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NOUVEAU
2022


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L’euthanasie
et l’avortement et ce que
j’en crois !


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Voir une page intéressante :
                
un hôpital gratuit pour enfants  "intouchables" atteints de la poliomyélite

à Chetttipatty dans le Tamil Nadu (Inde du Sud)

L'euthanasie et ce que j'en crois !

Après ma position de citoyen français, voici ma position en tant que croyant :

“la souffrance n'est en réalité
que la conséquence de notre éloignement de Dieu”

A. C. Emmerick




Le problème de la mise sous coma (euthanasie passive) permet à une personne de mourir au bout de quelques jours (une ou deux semaines ou de beaucoup plus s'il y a non alimentation et non hydratation).
La mise en euthanasie active non autorisée par la loi française, par injection ou absorption permets à une personne de décéder en quelques minutes ou quelques heures.
(voir le reportage en Belgique sur ce sujet  : Dr Yves de Locht : L'euthanasie, "c'est le dernier soin que je donne au patient pour apaiser ses souffrances")
Les médecins savent que dans le cas d'une mort lente (par non alimentation) même sous coma, le corps souffre. On le constate rien qu'en regardant le corps…

Je n'en rajouterai pas plus sur le sujet.
Dans les deux cas, il s'agit bien de mort d'une personne. Le temps à mourir est la différence.
On pourra toujours objecter à ceux qui refusent l'euthanasie active comme impossible car un médecin ne peut donner la mort et que les églises ne reconnaissent pas le droit de donner la mort, que l'euthanasie passive est aussi une mort et tout aussi condamnable à ce moment là, car il s'agit de non assistance à personne en danger (par non alimentation) … de mort. Le résultat est le même, la durée est la différence…
Je ne vais pas débattre du bien fondé de partir en conscience ou en état comateux. Je retiens cependant que les églises dont celle de Rome demandent cependant à ce que l'on ne maintienne pas inutilement la vie artificiellement en partant de ce constat qu'une mort inconsciente maintenue artificiellement n'a pas de sens.
Je ne désire pas juger et encore moins condamner les diverses positions.
Je ne suis pas un surhomme et ne désire pas vivre des instants de ce genre ou comme celui vécu par le Pape Jean-Paul II sur la fin de sa vie ou même de membre de ma famille. « Que Dieu m'en garde… ! »
Je me dis aussi que si j'étais dans la position de cette femme souffrante, il est bien possible que ne pouvant pas supporter cette souffrance, je puisse avoir la même attitude qu'elle et ne vais donc pas jouer les héros défenseurs de la vie alors que je suis en ce moment en bonne santé. Cela pour répondre à madame Boutin ministre de la République… (Je ne vais pas imposer aux autres ce que je ne pourrais pas moi-même assumer. Principe de base élémentaire… d'un chrétien !).
Pour autant, je plaçais mon article sous l'angle de la laïcité républicaine.
Là est le problème.
Une nation ne devrait pas infantiliser les citoyens en se retranchant derrière des lois. C'est quand même à l'individu de se présenter devant l'Eternel. Pas à la nation de le remplacer. Où alors nous sommes des citoyens irresponsables.
Pour un croyant d'une religion ou d'une autre (je suis un œcuménique séculariste comme le décrit le Dalaï Lama !), la notion de départ vers l'Eternel, se doit d'être consciente pour un individu. On ne peut pas demander à une personne sous coma de prendre physiquement son départ en charge vers l'Eternel. C’est généralement un texte pour se faire euthanasier, à écrire quand l’on est en bonne santé ou alors aux proches de la famille de décider de ce qu’il convient de faire… Même si je sais qu'en étant comateux votre âme a pouvoir de décision sur ce sujet. Mais le pouvoir de l'âme ne concerne plus les décisions des citoyens en ce domaine…
On notera au passage, que si l'entrée en état comateux peut se faire sans trop de douleur, car en cas d'accident, c'est le choc qui fait office d'anesthésiant, en revanche, pour ce qui concerne le retour de l'esprit et la réintégration dans son corps physique, cela n'est pas sans douleur. J'avais à cette occasion gardé à titre personnel dans mon enfance, le souvenir après un séjour comateux de trois jours d'un retour dans mon corps physique comme une souffrance avec un emprisonnement dans une contrainte très désagréable…
Voir aussi en parallèle l'expérience de M. Jean-Dominique Bauby dans son livre : le scaphandre et le papillon (et aussi le film tiré de son livre qui est remarquablement mis en scène).
Par contre rien n'empêche à un croyant de prier pour ses proches et de prier aussi pour des non croyants qui se trouvent dans ces cas là. J'indiquais justement à une internaute que le croyant avait même de nos jours la possibilité d'envoyer par courriel des prières d'intercession auprès de la Vierge comme à Ostina par exemple (ou à Guadalupe, etc.)
Mais cela reste du domaine de l'initiative privée et ne regarde en rien le citoyen d'une République laïque !
(La femme de Napoléon III n'avait-elle pas à titre privé fait un voyage et tiré de l'eau de source à Lourdes et faite une demande à la Vierge concernant la guérison de son enfant alors que son Prince Président de mari n'était pas spécialement pour cette reconnaissance de l'apparition dite miraculeuse qui pouvait contrarier son pouvoir et ses élections…)
Concernant la maladie en temps que telle, j'ai relu récemment ce que disait Anne-Catherine Emmerick : Il semble que la maladie ait un rapport entre l'acceptation et / ou le rejet de la présence divine.
A l'évidence, pour le cas de cette personne qui désire en finir avec la souffrance qu'elle ne peut plus supporter, il ne semble pas, tout au moins publiquement, qu'elle ait fait mention d'une croyance particulière en l'Eternel. Mais elle parle de départ dans l'amour avec l'entourage de ses proches.
Mais dans son entourage, peut-être que des personnes prient pour elle. Quand à savoir si des croyants se sont proposés pour lui parler de foi, je n'en ai rien lu à ce sujet. Bien qu'étant devenue aveugle et "salement handicapée" cette femme pourrait recevoir un don de Dieu. Mais quelle serait la personne pour lui porter le message ?
Concernant la question du deuil d'un proche suite à un décès après de longues années de coma. Ou encore de disparition du corps (attentat, accident d'avion, de bateau comme le Titanic, etc.), je préfère la vision hindou et bouddhiste où le corps chez les Hindous est brûlé pour redevenir en poussière. Cela est très beau et permet d'accepter l'impermanence du monde.
Vouloir à toute fin conserver un corps pour un croyant chrétien pour moi tient un peu du ridicule pour la raison suivante que la résurrection ne se fait pas par le corps physique, mais il s'agit de la résurrection de l'âme et de son état de lumière et d'élévation qui a été accompli pendant son incarnation terrestre.
Les Eglises tout comme les états laïques on trompé les peuples et lâchement détourné le véritable message de la résurrection et de ce que cela implique de message "révolutionnaire" comme prise de conscience de notre temps de passage comme "visiteur" sur terre et non comme "propriétaire terrestre Ad vitam et Ternam” (pour la vie éternelle) !
Donc, même si pour un humain il est raide d'accepter la mort d'un proche, il faut en faire son deuil en sachant que l'essentiel est l'âme et non le corps. (ce qui n'enlève d'ailleurs rien à la douleur…) Relisez la Bible sur ce sujet de la résurrection et ce qu'en dit le Christ.
Bon ! Comme d'habitude, il s'agit bien d'un partage et non d'une leçon de morale que je viens de vous transmettre. Enfin prenez le comme cela venant de ma part…

Bien à vous et en partage,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 18 mars 2008.

Note : Je vous entends déjà penser : “C'est bien beau tout cela, mais n'y a-t-il pas paradoxalement une contradiction entre ma position de citoyen d'une république laïque et ma position d‘un être humain croyant. En fait, toute l'interrogation de l'humain dans une société tourne autour de cela sa vie durant. A vous de choisir en dernier ressort si vous mourrez comme citoyen ou comme croyant. Et là, la réponse est personnelle.

Je n'ai donc pas à répondre à cette question… n'étant pas représentant à quelque échelon que ce soit d'une république hormis celle de simple citoyen et d'une religion hormis celle d'un simple croyant universel séculaire.

Et là j'en ai déjà beaucoup dit dans la réponse… (Le "lumineux" Pape Paul VI qui vécu très longtemps, priait tous les jours Dieu de l'aider le moment venu à passer par la bonne porte en Eternité…)

Remarque :
Précisions à propos de la citation d'A.C. Emmerick qui figure en titre de cet article. A la demande d'internautes qui s'étonnent qu'il puisse y avoir un rapport entre “l'éloignement de Dieu, la maladie et la souffrance”, je vous mets le complément d'informations ci-après :
Si l'on vit dans l'unité prônée par de nombreux sages et dont on retrouve des enseignements chez le Christ, on se rend compte qu'il y a du divin dans la vie. Du début à la fin (et même avant le début car nous sommes d’essence divine avant même notre incarnation ici-bas sur cette planète !). Que par sa liberté de fonctionnement et d'agir, les espèces dont l'homme s'éloignent du divin et s'encrassent l'existence au point d'en être malades, cela me semble une évidence. (Lire à ce sujet les milliards de vivants massacrés (appelés improprement : animaux !) par les humains pour satisfaire leur ventre de beaufs : (Symphonie végétarienne : À propos de la nécessité de réviser nos modes de vies, décroissance au Nord, aide au développement au Sud, permettant de favoriser la dénatalité mondiale, en favorisant une alimentation plus végétarienne…)

Pour info, on enseigne le respect du Divin dans les premier cours de yoga. Vous pouvez d’ailleurs télécharger un dossier d'une amie qui justement en parle à propos des rapports entre les chakras dans le yoga et des textes de la Bible.
Si vous pouviez seulement vous rendre compte qu'il y a aussi une possibilité de guérir rien qu'en émettant des pensées positives et propager des ondes bienfaisantes autour de vous, vous en seriez étonné. De même, vous avez la possibilité de vous détruire rien qu'en émettant des pensées négatives et vous propagez des ondes qui peuvent aussi détruire autour de vous.
Le pouvoir de la prière est une chose tout à fait étonnante. Et là on peut "toucher du doigt" (façon de parler) à l'une des illustrations du pouvoir du Divin.
Eloignez-vous du Divin et vous verrez que vous, votre entourage, votre peuple, votre pays, votre espèce en pâtira grandement.
Il m'eut été agréable de vous en convaincre, mais il n'est pas en mon pouvoir de vous imposer cette façon de voir. D'ailleurs cela ne s'impose pas. Cela s'accepte et s'apprivoise. Comme la vie…
Notez maintenant aussi ceci :
En médecine par exemple, on peut retrouver cela dans l'approche de l'homéopathie. Mais cela ne remplace pas non plus la démarche d'un chirurgien qui peut aussi amputer un membre qui aurait été abîmé par accident. Il n'y a pas contradiction en la matière (autre façon de parler !). Il y a aussi de grands yogis qui peuvent arrêter sur eux une hémorragie, mais je n'ai pas encore vu un humain s'amputer un membre rien que par la pensée. Il y a une acceptation des circonstances dans la vie que l'humain doit prendre en compte et cela en reconnaissance du Divin.
Dans ce prochain millénaire (et siècles proches), je peux vous signaler, que nous découvrirons de quoi est composé l'humain médicalement parlant et que nous pourrons remédier aux maladies et éventuellement prévenir les épidémies.
Mais précisément parce que nous saurons approcher le Divin correctement, nous pourrons soigner et avoir une approche préventive. Nous pourrons aussi détruire en nous servant de ces connaissances comme le rappel la Genèse avec l'histoire de la pomme (de discorde !) d'Adam et d'Eve et du Serpent (la tentation de l'ego qui se prend pour Dieu avec ses Connaissances). Cela sera aussi notre liberté.
Et nous éviterons aussi de tomber dans la fausse traduction millénaire de la Bible qui voulait faire croire que la Femme avait fauté à cause du serpent ! Lire à ce propos : "Le mensonge universel de P. Jovanovic". Depuis presque trois mille ans, des millions d'hommes et de femmes ont été nourris d'un texte qui a été entièrement maquillé, truqué et transformé par un ou plusieurs scribes hébreux entre 1250 et 800 av. J.-C. Il n'y a jamais eu de serpent. Il n'y a jamais eu de péché de la femme. Mais beaucoup de fourberie chez l'humain…
Cependant, je reste cependant optimiste car l'Esprit de l'Homme s'ouvrira sur le Divin et sera alors en reconnaissance divine.
Oui, je sais, vous allez être dépité car cela concerne très probablement un temps où votre petite personne ne sera déjà plus de ce monde car l’évolution de l’humanité se fait très très lentement sur cette planète. Et je devine que vous allez encore râler et vous en prendre à Dieu de ne pas vous avoir tout préparé pour votre incarnation. Ce serait d'ailleurs oublier que vous avez choisi votre temps d'incarnation dans une période précise… Et ce n'est pas Dieu qui vous l'a imposé que je sache. N'allez pas encore reprocher à Dieu si vous êtes incarné à notre époque ! Cela serait une preuve de votre incroyance dans la roue céleste des incarnations.
Mais restez confiant en la grâce divine car la lumière divine est éternelle. (Mais vous avez cela d'écrit dans la Bible et le Christ n'a-t-il pas parlé de l'Eternel et de Résurrection ? Alors que craignez-vous hormis votre petite mort comparable à un incroyant…)
Alors n'accusez pas Dieu dans les fléaux (comme les maladies) et virus actuels. Car cela n'a rien à voir. Ce n'est pas parce que l'humain n'a pas la connaissance du Divin qu'il doit continuellement s'en prendre à Dieu et lui demander des comptes. Vous inversez les rôles.
Tout à fait entre nous, nous avons bien de la chance d'avoir eu des personnes comme “la mère Emmerick” et d'autres pour nous avoir rappelé aussi certaines vérité Divines que nous n'acceptons pas à cause de notre manque de lumière intérieure…
En partage et fraternellement,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 19 mars 2008.


Le respect de la vie… suite 1 du débat ! :


L’avortement (et ou l'euthanasie) : Ce que j’en crois !

C’est parce que nous avons de le choix d’accepter ou de refuser un avortement que nous sommes libres.

Mais si vous acceptez de ne pas avortez, non seulement vous restez libre, mais en plus vous accédez à une dimension supérieure qui est l’acceptation que la vie était avant la conception, est pendant la conception et la vie terrestre et sera ensuite divine en toute éternité.

Et c’est cela qui est le message de l’acceptation temporaire de notre vie terrestre passagère. Et que nous remontons ensuite en éternité après notre vie terrestre…

Voir à ce sujet, le TÉMOIGNAGE TOUCHANT :
TRISOMIE 18 RARE, ILS REFUSENT D’AVORTER LEUR BÉBÉ.

En partage et fraternellement,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 12 juillet 2022.


Le respect de la vie… suite 2 du débat ! :

Le suicide et l’euthanasie :

Pour ceux qui sont Chrétiens et Croyants, voici ce que dit Jésus à Judas sur le sujet du suicide :

Chapitre : Jésus instruit Judas Iscariote :
Pages 452 à 455 à la page 453 : sur le sujet du suicide on peut lire à la ligne 30 de la page 453 à la ligne 17 de la page 454 :

« Mais laisse-moi te répondre à ce que tu demandais pour que tu ne dises pas que tu es resté dans l’erreur par ma faute. Il est vrai que le suicide est un véritable meurtre. La vie, qu’il s’agisse de la nôtre ou de celle d’autrui, est un don de Dieu et le pouvoir de l’enlever est réservé à Dieu seul, puisque c’est lui qui l’a donné. Qui se tue avoue son orgueil, or Dieu déteste l’orgueil.
- Avoue son orgueil ? Je dirais plutôt son désespoir.
- Et qu’est-ce que le désespoir, sinon l’orgueil ? Réfléchis, Judas. Pourquoi quelqu’un désespère-t-il ? Parce que les malheurs s’acharnent sur lui et qu’il n’en peut venir à bout par ses propres moyens. Ou bien parce qu’il est coupable et estime que Dieu ne peut lui pardonner. Dans ces deux cas, n’est-ce pas l’orgueil qui domine ? L’Homme qui ne veut se fier qu’à lui-même n’a plus l’humilité de tendre la main au Père et de lui dire : « Je ne puis, mais toi, tu le peux. Aide-moi, car c’est de toi que j’espère et attends tout. » Quant à celui qui prétend : « Dieu ne peut me pardonner », il mesure Dieu à son aune : il sait qu’une personne offensée comme il l’a offensée ne pourrait lui pardonner. Là aussi c’est de l’orgueil. L’humble compatit et pardonne même s’il souffre de l’offense qu’il a reçue. L’orgueilleux ne pardonne pas.  Mais il se montre aussi orgueilleux en ce qu’il ne sait pas courber le front et reconnaître : « Père, j’ai péché, pardonne à ton pauvre fils coupable. » Or ne sais-tu pas, Judas, que tout sera pardonné par le Père, si le pardon est imploré d’un cœur sincère et contrit, humble et désireux de résurrection dans le bien ?  »
- (…) »

Texte extrait du livre des révélations de Maria Valtorta, tome 1 du livre : « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé ». (Version française de l'édition du Centro Editoriale Valtortiano www.mariavaltorta.com, réimprimé en février 2021.)

En partage et fraternellement,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 23 juillet 2022.



résurrection














 


la Vierge de Guadalupe

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Page créée le 19 mars 2008.
Dernière actualisation de la page : le 23 juillet 2022.
Pierre Sarramagnan - Souchier