Article 50 :

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Douceurititude ! Câlinititude ! Amourititude !
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••• NOTRE TANTRA POUR TOUS •••
•••(et
pour les très nuls aussi…) •••

Ce matin je suis câlin
pour la Princesse !
Je profite que tes seins soient encore libres pour venir les embrasser
! Je commence par le sein gauche. Je lèche tes rondeurs en
tournant depuis la base jusqu’au sommet en un mouvement tournant de
gauche vers le droite en laissant ma salive le long de ta peau avec ma
langue qui glisse le long de ton épiderme. J’aspire parfois et suce
plus profondément tout en tournant autour de ton sein gauche jusqu’à
son sommet.
Je souffle de ma bouche un air chaud sur ton sein et attend que ta peau
ait la petite chair de poule due à ce souffle taquin.
Je sais et je sens bien le plaisir que cela te provoque et l’énergie
bénéfique qui s’en dégage dans tout ton corps meurtrie et c’est la
raison de l’activité de ma bouche sur tes mamelons. Je sais que ton
corps retrouve tout son bon tonus et son bien être, car c’est aussi une
excellente médecine pour parer aux inconvénients et déficiences que
provoquent ta maladie.
Arrivé au sommet, je titille tes deux bourgeons avec mes dents pour te
tirer deux trois plaintes de plaisirs. Je sais que ton mamelon droit
attend, alors, je grimpe à son assaut pour avoir le même plaisir que
son frère échauffé et brûlant.
Je dépose ensuite un baiser sur ton mamelon gauche, souffle encore un
peu d’air chaud de ma bouche et ma langue redescend l’ascension de ton
sommet dans le sens inverse, de droite à gauche pour retrouver la
largeur et la base de ton sein gauche et venir glisser ma langue dans
la vallée.

À nouveau, je grimpe
aussitôt à l’assaut de ton sein droit en effectuant le même manège
sensuel avant de planter le drapeau de mon baiser et de mon bisou à son
sommet.
Là !
J’entends encore tes plaintes et tendres gémissements.
Alors ma langue bienveillante, redescend en sens inverse jusqu’au fond
de la vallée qui sépare tes deux seins et remonte en direction de ton
cou pour rejoindre le lobe de ton oreille droite et la sucer avant de
la titiller.
Tu te laisses épanouir telle une fleur qui s’ouvre au matin aux
premiers rayons du soleil et ta respiration s’accélère encore un peu de
désirs.
Je redescends alors et rejoins l’autre lobe de ton oreille gauche et
effectue le même scénario mouillé et titillant.
Tu es heureuse de satisfactions et des vibrations qui se diffusent en
toi et te soignent la lymphe.
Alors ma langue remonte jusqu’à ton menton et je plonge mon regard dans
tes yeux mis clos et te dépose sur tes lèvres mon air chaud.
Je te souhaite alors le bonjour et présente à la Princesse le bonheur
matinal dans un souffle court.
Tu ouvres à peine tes yeux et j’y plonge aussitôt mon regard qui va se
noyer dans l’océan de tes désirs insondables.
Tu m’entraines ensuite dans une ronde tourbillonnante, avant que je ne
perde pieds. Tu prends maintenant l’initiative de ta danse de l’amour
en me renversant sur le dos et, te redressant, tu offres à mon visage
tes deux seins rayonnants et excités de désirs.

La suite t’appartient, comme tu sais si bien le faire, en encerclant ma
tour pour mieux me piloter vers les sommets de notre union. Comprimant
tes muscles du périnée tu emprisonnes mon pénis de ton vagin puissant
et impose un balancement tantôt tournoyant, escaladant mon bâton de
jade pour mieux en redescendre avec grâce et plénitude. Restant à
chaque escalade, un long moment sans bouger, éprouvant nos aspirations
dans le silence de nos désirs, pour mieux réintégrer à nouveau les
hauteurs célestes qui nous accueillent et nous éveillent à la lumière
du nirvana.

Nous tanguons souplement avec alanguissement vers ces sommets
vertigineux de plénitude. Aux cimes, tu décides encore une nouvelle
fois de redescendre pour nous éviter les vertiges et reprendre assise
sur nos fondamentaux où nous reposons à nouveau longuement. Solidement
amarrés l’un à l’autre par la seule étreinte de ton sexe puissant,
souple, mobile et extravagant d’ingéniosité, aux mouvements fluides,
discrets et multiples. Il en irradie une chaleur qui nous consume de
l’intérieur et éclaire alors les secrets intimes. Ces trésors de nos
pensées cachées, invisibles aux mortels qui n’en perçoivent que des
nuages de réalités terrestres.
Nous planons sur la conscience du réel cosmique qui se réjouit de notre
présence. Nous atteignons l’éblouissement ! Notre temps n’existe plus.
Nous sommes. Toi et moi unis dans le Ciel.
Ce n’est que beaucoup plus tard, qu’apaisés et sereins, nous
redescendons magnifiés par le sereine plénitude de notre nouvelle
découverte que nous a révélé ce voyage de l’amour partagé.

Ma main alors glisse le
long de tes cheveux qui reprennent forme et mes lèvres posent une perle
de nacre sur tes paupières fermée, pour les réveiller tendrement de
notre rêve cosmique. Nous redevenons peu à peu comme ces humains, qui
se glissent alors dans la paix, après la combustion de notre fusion.
Nous sommes enfin là de retour.
Princesse !
Le
soleil décline déjà et la nuit s’avance !
Qu’importe
!
Nous ne sommes pas à une journée prêt après une telle escalade.
Aimons-nous à nouveau dans le secret de nos cœurs en attendant le
prochain lever du jour.
Ton ami intime apprenti câlin.
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 2 mai 2015. __________
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(Note : Je ne connais pas les
auteurs des photographies et illustrations !)